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<p>The fifth installment in the epic six-volume cycle is here, highly anticipated by Karl Ove Knausgaard's dedicated fan club-and the first in the cycle to be published separately in Canada.</p><p>The young Karl Ove moves to Bergen to attend the Writing Academy. It turns out to be a huge disappointment: he wants so much, knows so little, and achieves nothing. His contemporaries have their manuscripts accepted and make their debuts while he begins to feel the best he can do is to write about literature. With no apparent reason to feel hopeful, he continues his exploration of and love for books and reading. Gradually his writing changes; his relationship with the world around him changes too. This becomes a novel about new, strong friendships and a serious relationship that transforms him until the novel reaches the existential pivotal point: his father dies, Karl Ove makes his debut as a writer and everything disintegrates. He flees to Sweden, to avoid family and friends.</p><
<div> — Les Turlidons ! Aux armes ! Les Turlidons !<br> A cet instant, sous les yeux effarés de Ronny Blade, tous les arbres situés dans les environs se mirent en branle pour se ruer vers lui et ses compagnons. C'était une vision terrifiante que ces troncs lancés en avant fouettent furieusement l'air de leurs branches aux « doigts » crochus qui s'enlaçaient à leur proie dans une étreinte mortelle.<br> Brusquement, un voile gris brouille les yeux du business-man en même temps qu'une ramure se refermait sur sa gorge, cherchant à l'étrangler. Désespérément, Blade tenta de se dégager mais chacun de ses mouvements ne faisait que resserrer l'étau qui lui broyait la poitrine. Toute résistance était inutile. Cette fois, c'était la fin.</div><
<p>Known for his brilliantly dark fictional visions, László Krasznahorkai is one of the most respected European writers of his generation and the winner of the 2015 Man Booker International Prize. Here, he brings us on a journey through China at the dawn of the new millennium. On the precipice of its emergence as a global power, China is experiencing cataclysms of modernity as its harsh Maoist strictures meet the chaotic flux of globalism. What remains of the Middle Kingdom’s ancient cultural riches? And can a Westerner truly understand China’s past and present — or the murky waters where the two meet?</p><p>“The contemporary Hungarian master of the apocalypse.”—Susan Sontag</p><p>“Krasznahorkai delights in unorthodox description; no object is too insignificant for his worrying gaze. . He offers us stories that are relentlessly generative and defiantly irresolvable. They are haunting, pleasantly weird, and ultimately, bigger than the worlds they inhabit.”—</p><p>“Krasznahorkai is an expert with the complexity of human obsessions. Each of his books feel like an event, a revelation.”—</p><
<div>— Mes seigneurs, commença l'émissaire de la couronne, d'intolérables rumeurs d'insubordination sont parvenues aux oreilles de leurs Majestés, la reine Ishtraï et son fils, le jeune roi Zharrall, dont vous êtes tous les vassaux et fidèles sujets...<br>Une onde d'hostilité parcourut l'assemblée des notables de la Nouvelles Terre réunis dans le palais du gouverneur.<br>— C'est pourquoi, poursuivit le messager, Leurs Majestés ont décidé l'envoi de plusieurs escouades en direction de la Nouvelle Terre afin...<br>Il ne put terminer sa phrase. Comme une lame de fond, la foule se rua sur lui. Mais, impuissants à forcer le barrage des soldats qui le protégeaient, les insurgés cherchèrent un exutoire où déverser leur trop plein de hargne. Avisant Blade et Baker qui se tenaient un peu à l'écart, un des assaillants se mit à les invectiver :<br>— C'est votre faute, étrangers ! hurla-t-il. Vous êtes des traîtres à la solde de cette ordure : vous allez payer pour lui !<br>Désarmés, seuls face à cette marée furieuse, les deux businessmen s'apprêtèrent à vendre chèrement leur peau. Car l'issue du combat ne faisait malheureusement aucun doute...</div><
<div>— Mes frères, ce que j'ai à vous dire est d'une extrême gravité : tout me porte à croire que le Pacte de Kennlor est réactivé...<br>Un cataclysme nucléaire survenant à cet instant précis dans l'immense salle de conférence, où s'étaient entassés plus de deux cents dignitaires de l'Ordre cosmique des Chevaliers de Lumière, n'eût pas suscité plus vive réaction d'effroi. Chacun savait que cette alliance des plus noires forces extraterrestres n'avait d'autres ambitions que d'asservire la Terre en s'appuyant sur ses pires organisations narco-terroristes et mafieuses.<br>— Cette fois, si nous échouons à leur barrer la route,<br>c'est toute la planète qui tombera dans leur filet car, d'après les informateurs, l'envahisseur aurait déjà largement infiltré la hiérarchie de l'un de ses plus puissants réseaux...<br>Il se tut quelques secondes avant d'ajouter :<br>— L'Eglise catholique !</div><
<div>— Will ! Où es-tu ? hurlait Blade. William ! réponds-moi !<br>Il s'égosillait en vain. Baker avait disparu, englouti par le shinoum, cette terrible tempête de sable qui, en quelques secondes, s'était abattu sur la caravane comme un prédateur affamé. Si Ronny Blade et la plupart des hommes avaient réussi à se réfugier de la furie de l'ouragan à l'abri d'un étroit goulot, Baker manquait à l'appel. Baker, son plus viel ami et complice de toujours, l'alter ego avec qui, pierre par pierre, il avait construit la B & B Corporation. Baker...<br>est Fou d'angoisse, les poumons en feu, aveuglé par les rafales de sable qui lui brûlaient les yeux, le businessman s'avança à l'entrée du défilé. Il s'apprêtait à replonger dans cet enfer pour tenter d'en arracher son associé quand la silhouette de Laïma'Dha s'interposa devant lui.<br>— Tu es fou, étranger ! s'écria-t'elle. Ton ami est perdu ! Le shinoum ne pardonne pas... Au mieux, dans quelques jours, des bédouins retrouveront son cadave à demi enseveli... C'est ainsi et tu n'y peux rien.</div><
<div>La vieille femme se pencha vers Andy Sherwood et le contempla avec un petit sourire sardonique. Brusquement elle lança ses deux mains en avant et serra le cou de son prisonnier. Ce dernier se tortilla en tous sens pour tenter d'échapper à l'étreinte des doigts crochus qui lui bloquaient la gorge mais, saucissonné comme il l'était, sa marge de manœuvre était plus que limitée.<br>— Tout doux, mon garçon, tout doux ! ricana la sorcière en lâchant soudainement prise. Tu crois donc que, bravant les autorités de Ktan, j'aurais pris le risque de te kidnapper pour le simple plaisir de te faire passer de vie à trépas ? Tu me crois donc assez sotte pour tuer la poule aux œufs d'or ? Car, tu es mon otage, Andy Sherwood... Un otage qui va me rapporter des centaines de milliers d'oro-crédits...<br>— Galaxie noire ! rugit l'aventurier. Qui vous paie pour ce contrat ?<br>En guise de réponse, sa geôlière ramassa ses jupes et, se redressant, elle lança moqueuse :<br>— Les explications, monsieur l'aventurier, ce sera pour plus tard... Mais peut-être qu'alors pour toi, ce sera aussi... trop tard !</div><
<p>Of her charming new tale the author says, “ ‘The Stubbornest Broad on Earth’ is the first story I’ve written that doesn’t include my mom as a character—that’s her mom and the farm she grew up on—and I think they’d both have liked it.”</p><p>Her editors certainly do.</p><
<div>Un silence de plomb régnait à l'intérieur du vaisseau-amiral de l'Ordre cosmique.<br>Touché de plein fouet par une mystérieuse colonne de lumière blanche, le Nerkal venait en effet de subir une attaque d'une violence inouïe qui avait gravement endommagé toute son infrastructure électromagnétique.<br>Certes, grâce au sang-froid des techniciens et de l'équipage, les dégâts matériels avaient pu être rapidement circonscrits. Mais, dans l'immensité galactique, le cosmonef planait à présent comme une sorte de grand cercueil futuriste, car une menace d'une tout autre ampleur subsistait. Une menace qui mettant en péril l'avenir de l'Ordre lui-même et la rumeur de cette catastrophe s'était répandue comme une traînée de poudre dans toute la communauté des Chevaliers de Lumière.<br> Michel Merkavim, le Grand-Maître, l'homme qui, depuis plusieurs décennies, avait su conduire l'Ordre cosmique vers ses plus hautes destinées, était entre la vie et la mort.</div><
<div>— Que se passe-t-il, Francisco ? interrogea Ronny Blade, alerté par l'expression douloureuse qu'il lisait sur les traits de son interlocuteur. C'est la santé de Yeux-d'Or qui vous préoccupe ? L'Espagnol hocha la tête et son visage parut se creuser davantage.<br>— Il y a deux nuits, commença-t-il d'une voix nouée par l'émotion, j'ai été réveillé par un cri. C'était elle qui l'avait poussé. J'ai voulu allumer la lumière mais elle m'a supplié de ne pas le faire. A la clarté lunaire, j'ai quand même pu distinguer ce qui se passait et j'avoue qu'un frisson d'horreur m'a traversé : Yeux-d'Or avait en partie disparu, je ne la voyais plus que par plaques. Seuls des morceaux de son visage et ses memùbres restaient visibles, le reste avait été... comment dire ? absorbé, comme avalé par le néant et... je voyais à travers ! Au petit matin, j'ai fait venir les meilleurs médecins de Kratara ; leur diagnostic a été unanime...<br>— Francisco, mon Dieu, s'écria Blade, boulebersé à son tour. Vous voulez dire qu'elle est...<br>— Morte ? Non, balbutia l'Espagnol, c'est pire. Elle a totalement disparu à présent.</div><
<p>Welcome to Cold Mountain Penitentiary, home to the Depression-worn men of E Block. Convicted killers all, each awaits his turn to walk the Green Mile—the prison’s death row. This is the story, told by former guard Paul Edgecombe, of what happened there in 1932 when an unusual inmate named John Coffey arrives. Condemned for a crime terrifying in its violence and shocking in its depravity, he has the body of a giant and the mind of a child. But there’s something about Coffey that makes Paul question if this man could have committed that crime. He is a rare, gentle spirit along the Green Mile.</p><
<p>Paul Edgecombe’s story continues with the addition of two characters, one a new prisoner awaiting his own date with “Old Sparky,” Cold Mountain’s electric chair. He’s William “Wild Bill” Wharton, a killer with an aim to cause as much trouble as he can before his execution date. The other newcomer is a mouse. Called Steamboat Willy by the guards who first noticed him, he’s later renamed Mr. Jingles by Eduard Delacroix, another of the death row inmates who eventually takes in the mouse and makes him his pet—a bit of cold comfort for a man condemned to walk the Green Mile.</p><
<div>Le gros Airbus A 320 reliant Lyon-Satolas à Strasbourg-Entzheim était bondé. À quatre jours de Noël, nombreux, parmi les passagers, étaient ceux qui allaient passer les fêtes en famille et la carlingue résonnait de piaillements et de cris d'enfants surexcités.<br>— Regarde, maman, on dirait des chevaliers dans le ciel !<br>Amusé par la réflexion du gamin assis contre le hublot Gérard David sourit et regarda sa montre. Il était 19 h 25. La fin du voyage approchait. Homme d'affaires, lui, il n'était pas fâché de quitter bientôt cette ambiance de cour de récréation. A trois mille pieds au-dessus du ballon d'Alsace, l'appareil devait survoler le mont Sainte-Odile à présent. Machinalement, il jeta un coup d'œil par-dessus les cheveux de l'enfant et sursauta : une troupe de cavaliers, créatures fantomatiques et presque diaphanes, galopaient dans les airs à quelques mètres du fuselage. À leur tête caracolait une silhouette spectrale auréolée d'une luminescence blanchâtre : un chapeau à larges bords lui couvrait le chef et, sur ses épaules, un long manteau flottait dans l'azur de la nuit...<br>19 h 28, le vol AF54679 disparut de tous les écrans de contrôle.</div><
<div>D'après nos investigations, trois internautes se sont volatilisés en jouant sur la version internet du jeu des Chevaliers de Lumière. Oui, volatilisés, répéta le commissaire Lebret devant les yeux effarés de son vieil ami, le journaliste Gilles Novak. Pire : pendant une partie <br>— Mais quel lien avec le jeu ? s'écria le journaliste abasourdi.<br>— Je pense que tu devrais te connecter sur le site. Tu vas comprendre tout de suite ce qui se passe.<br>Dix minutes plus tard, Gilles Novak horrifié déchiffrait le parchemin énonçant la mission de la partie interactive du jour : « Vous êtes tombé amoureux d'une jeune sataniste. Pour la séduire, vous devez à sa demande blesser, torturer et tuer un maximum d'ennemis... » Les paramètres de gain qui suivaient étaient à l'avenant : « meurtre : 10 points ; scalp : 3 points... »<br> Cette fois, nul doute n'était plus possible, à travers cette vision parodique des Chevaliers de Lumière que proposait le jeu, c'était bien l'Ordre lui-même qui était visé.</div><
Nach "Shanghai fern von wo" geht Ursula Krechel noch einmal den Spuren deutscher Geschichte nach. Ihr neuer Roman handelt vom Exil und von den fünfziger Jahren, von einer Rückkehr ohne Ankunft.Was muss einer fürchten, was darf einer hoffen, der 1947 aus dem Exil nach Deutschland zurückkehrt? Nach ihrem gefeierten, 2008 erschienenen Buch "Shanghai fern von wo" geht Ursula Krechel mit ihrem neuen großen Roman "Landgericht" noch einmal auf Spurensuche. Die deutsche Nachkriegszeit, die zwischen Depression und Aufbruch schwankt, ist der Hintergrund der fast parabelhaft tragischen Geschichte von einem, der nicht mehr ankommt. Richard Kornitzer ist Richter von Beruf und ein Charakter von Kohlhaasschen Dimensionen. Die Nazizeit mit ihren absurden und tödlichen Regeln zieht sich als Riss durch sein Leben. Danach ist nichts mehr wie vorher, die kleine Familie zwischen dem Bodensee, Mainz und England versprengt, und die Heimat beinahe fremder als das in magisches Licht getauchte Exil in Havanna. Ursula Krechels Roman lässt Dokumentarisches und Fiktives ineinander übergehen, beim Finden und Erfinden gewinnt eine Zeit atmosphärische Konturen, in der die Vergangenheit schwer auf den Zukunftshoffnungen lastet. Mit sprachlicher Behutsamkeit und einer insistierenden Zuneigung lässt "Landgericht" den Figuren späte Gerechtigkeit widerfahren. "Landgericht", der Roman mit dem doppeldeutigen Titel, handelt von einer deutschen Familie, und er erzählt zugleich mit großer Wucht von den Gründungsjahren einer Republik.<
<p>Eduard Delacroix has grown quite attached to Mr. Jingles. But one guard, Percy Wetmore, despises Mr. Jingles… and anything that might bring happiness to an inmate. Not all guards can be like Paul. He’s a man who doesn’t like to see anyone suffer and has dedicated his career to making sure that the condemned men in his charge spend their last days with peace and dignity. Paul is also suffering. He has a painful bladder infection that just won’t let up. It’s because of this ailment that he learns that John Coffey has the ability to heal with his touch. It’s a wondrous revelation at a time when yet another man must take his final trip on the Green Mile.</p><
<div>— Je vous présente mes respects, Général 1ern beugla Drank-Holmn, avant de se tourner vers le fond de la pièce où se trouvait Andy Shervvood encadré par Blade et Baker. Voici les prisionniers dont nous vous avons annoncé la capture. A peine Ronny Blade eut-il fait trois pas en avant qu'il sursauta. Parmi les personnages présents dans la salle, il y avait une silhouette que, bien qu'elle leur tournât le dos, il aurait reconnue entre mille. Xhyvor ! Le jeune N'Gharien était assis sur un mauvais tabouret face au bureau derrière lequel se tenait le chef militaire entouré de deux membres de son état-major.<br>— Eh bien, mousaillonn te v'là enfin ! s'écria Andy Sherwood, toujours prompt à réagir. Dire qu'on se faisait un sang d'encre à ton sujet et qu'on te retrouve là, tranquille, à discuter le bout de gras, et avec les huiles encore... Sans mot dire, Xhyvor pivota lentement vers ses amis. Alors, à la lueur chiche des torches qui éclairaient la salle, les prisonniers aperçurent avec effroi le visage tuméfié du jeune homme.</div><
<div>— Il faut passer en force ! cria Gilles Novak en plongeant dans la masse compacte des gardes qui barrait le passage.<br>Il allait crier victoire en se redressant derrière les lignes ennemies quand quatre hommes surgirent en combinaison ignifugée. Le journaliste identifia immédiatement les engins de mort qu'ils braquaient devant eux : des lances-flammes.<br>Avant qu'il ait pu réagir, les bouches noires crachèrent leurs langues de feu. A travers les lunettes à infrarouge de son casque, Gilles eut le temps de voir les silhouettes de ses Chevaliers de Lumière qui commençaient à se tordre malgré leur champ protecteur censé les isoler, puis tout s'effaça autour de lui. Trente secondes plus tard, rematérialisé dans la soute de l'aviso du commando Alpha, il entendit la voix nouée de Shorung-N'Taal :<br>— Les autres se sont fait piéger, articulait-il. Je n'ai pas eu le temps de les translater à bord.<br>Les autres ? Le coeur de Gilles fit un bond clans sa poitrine. Se pouvait-il que trois de ses vieux compagnons et Régine, la femme qui partageait sa vie depuis tant d'années, aient trouvé la mort au cours de cette simple mission d'observation au pays du Père Noël ?</div><
<p>"Angelika Klüssendorf erzählt von einem jungen starken Mädchen, das sich herausarbeitet aus allem, was sie umgibt und niederhält: die tyrannische Mutter, die autoritären Lehrer, der bürokratische Staatsapparat.</p><p>Am Anfang scheint alles schon zu Ende zu sein: Der Vater trinkt und taucht nur sporadisch auf, die Mutter lässt ihre Wut an den Kindern aus, die Klassenkameraden meiden das Mädchen, der jüngere Bruder kapselt sich völlig ab. Und doch gibt es eine Kraft, die das Mädchen trägt. Die Bilder aus» Brehms Tierleben«, die sie bewundert, der Traum vom kleinen Haus mit Garten auf dem Lande, Grimms Märchen. Und immer wieder Menschen, die ihr etwas bedeuten und die sie halten. Eines hat sie gelernt: Man muss sich holen, was man braucht. Auch wenn sie mehrfach beim Ladendiebstahl erwischt und schließlich ins Heim gesteckt wird, kann sie sich auch dort auf die neue Lage einstellen. Und das Kinderheim wird auf überraschende Weise zu einem Refugium, wo Kindheit erstmals gelebt werden kann.</p><p>Mit ihrer klaren, knappen, präzisen Prosa, großer Lakonie und trockenem Humor versetzt Angelika Klüssendorf den Leser in eine Welt, die das Kindsein kaum zulässt. Atemlos folgt man einer Heranwachsenden, die nichts hat, worauf sie sich verlassen kann, und trotzdem den Lebenswillen nicht verliert — kein bemitleidenswertes Opfer, sondern ein starker, abgründiger Charakter. Ein literarisches Meisterwerk!" (KiWi)</p><
<p>Ainsi donc, mes amis, conclut Zébulon Krasbaueur, grâce à ce « mémovibreur », j'ai non seulement réussi à me connecter à la zone mémorielle du cerveau de Xhyvor, mais, comme vous avez pu le constater sur cet écran, il n'y a aucune distorsion entre le souvenir du sujet et la réalité. Autrement dit, Xhyvor n'est que le support neutre de ces événements que sa mémoire a enregistré comme une photographie. Vous imaginez, j'en suis sûr, les applications inouïes d'un tel dispositif : la constitution d'une mémothèque où serait consignée toute l'Histoire de l'humanité ! A cet instant, une succession d'images se mit à défiler à une allure folle sur l'écran tandis que Xhyvor était pris de convulsions. Ça alors ! s'exclame Krasbaueur : Vous avez vu, Blade ? On dirait... Mais, oui, c'est comme si un programme résiduel venait de se déclencher, une sorte d'anti-virus... Je... Il n'eut pas le temps d'achever : dans un ultime flash lumineux l'écran explosa, projetant alentour une pluie de débris qui hachaient l'air de leur arêtes tranchantes avant de converger vers le malheureux Xhyvor comme autant de dards venimeux. Professeur, faites quelque chose ! hurla Baker. Vite ! Un silence de mort lui répondit.</p><
<p>"Wenn du dich als Achtjähriger, als Dreizehnjähriger, als Sechzehnjähriger denkst, erkennst du dich in ihnen wieder?"</p><p>"Ja. Und sehr gerne dazu."</p><p>"Gibt es einen Lebensabschnitt, in dem du dir fremd vorkommst?"</p><p>"Zwischen fünfundzwanzig und dreißig ein bisschen fremd. Gestern und vorgestern sehr fremd."</p><p>"Glaube, Liebe, Hoffnung. Welche Reihenfolge?"</p><p>"Liebe, Hoffnung, Glaube. Wenn ich den anderen dabei zusehe."</p><p>"Bei dir selber?"</p><p>"Keine Ahnung. Ich denke, das gilt nur bis sechzig oder siebzig. Bei den Auserwählten vielleicht etwas länger." Er lacht.</p><p>"Was ist das Größte, das du in deinem leben vollbracht hast?"</p><p>Keine Antwort darauf.</p><p>"Abendland" ist im wahrsten Sinne des Wortes ein Generationenroman. Mit großer erzählerischer Kraft wird dargestellt, wie die unterschiedlichsten Menschen jenseits der politischen und historischen Wechselfälle aufeinander angewiesen sind und aneinander hängen, warum sie sich gegeneinander auflehnen und wie sie dann doch ihren Frieden schließen. In einem bewegenden Panorama des 20. Jahrhunderts werden die großen historischen Sündenfälle und die kleinen privaten Reaktionen darauf beschrieben. Ein solches Buch hat es in der deutschen Literatur schon lange nicht gegeben.</p><
Mit hintergründigem Humor schildert Daniel Kehlmann das Leben zweier Genies: Alexander von Humboldt und Carl Friedrich Gauß. Er beschreibt ihre Sehnsüchte und Schwächen, ihre Gratwanderung zwischen Lächerlichkeit und Größe, Scheitern und Erfolg. Ein philosophischer Abenteuerroman von seltener Phantasie, Kraft und Brillanz.<
<p>— Ainsi donc noble étranger, tu es un Chevalier de Lumière du peuple d'« en-haut »... murmura la souveraine. Sache l'ami que je me nomme Mélishand, la reine serpent, celle que, dans ta dimension terrienne, on doit encore appeler la fée Mélusine ! Une malédiction nous a rejetés ici, dans cet univers que nous partageons avec les Burgondes. Ils sont le peuple du Cerf comme nous sommes celui du Serpent. Longtemps nous avons vécu dans une sorte de neutralité intelligente : nous possédions l'Œuf du Serpent ; ils détiennent la Toison d'Or, deux objets de pouvoir de sagesse, mais qui sont aussi deux armes redoutables... ajouta-t-elle en soupirant. Mais cet équilibre s'est brutalement rompu lorsque les Bendans ont débarqué chez nous. Ils avaient la peau écailleuse du serpent, ils chevauchaient des reptiles, ils maîtrisaient de redoutables dragons et nous les avons accueillis comme les frères qu'ils prétendaient être. Pourtant, peu à peu, ils nous ont soumis à leur pouvoir et n'ont eu de cesse que de nous amener à déclarer la guerre au peuple-cerf car ils veulent s'approprier la Toison d'Or. Alors... Un bruit de galopade retentit derrière la porte qui s'ouvrit. — Fuyez, ma reine ! haleta un garde. Les Bendans, ils attaquent !</p><
<p>Retired Detective Bill Hodges now runs a two-person firm called Finders Keepers with his partner Holly Gibney. They met in the wake of the ‘Mercedes Massacre’ when a queue of people was run down by the diabolical killer Brady Hartsfield.</p><p>Brady is now confined to Room 217 of the Lakes Region Traumatic Brain Injury Clinic, in an unresponsive state. But all is not what it seems: the evidence suggests that Brady is somehow awake, and in possession of deadly new powers that allow him to wreak unimaginable havoc without ever leaving his hospital room.</p><p>When Bill and Holly are called to a suicide scene with ties to the Mercedes Massacre, they find themselves pulled into their most dangerous case yet, one that will put their lives at risk, as well as those of Bill’s heroic young friend Jerome Robinson and his teenage sister, Barbara. Brady Hartsfield is back, and planning revenge not just on Hodges and his friends, but on an entire city.</p><p>The clock is ticking in unexpected ways…</p><p>Both a stand-alone novel of heart-pounding suspense and a sublimely terrifying final episode in the Hodges trilogy, takes the series into a powerful new dimension.</p><p>The extract above is abridged from .</p><
<p>Amanda Delback, je suppose ? fit Ronny Blade en serrant la main de la journaliste, une toute jeune fille au visage rond auréolé d'une tignasse rousse ébouriffée. Nous sommes très heureux mes associés et moi-même de pouvoir vous accorder cet interview ; j'ai également convié Xhyvor, notre plus jeune collaborateur à y participer. Vous verrez, ce garçon a un tas de qualités et notamment des pouvoirs télépathiques très surprenants. Tout en parlant, le businessman avait entraîné son invitée jusqu'à la terrasse de la villa où il l'invita à s'asseoir sur l'un des transats disposés autour d'une table. Alors, tandis que, s'apprêtant à s'installer, la journaliste passait devant lui, Xhyvor fut soudain saisi par une sensation aussi brutale que terrifiante. — Non, mademoiselle Amanda, s'écria-t-il d'une voix blanche. Ne faites pas ça ! La jeune femme réagit en un quart de seconde : portant la main à sa ceinture où était suspendu l'étui de sa caméra numérique, un modèle high-tech miniaturisé, elle se redressa et, les doigts crispés sur la crosse de la pseudo vidéo, se mit à tournoyer en lâchant autour d'elle une série de salves meurtrières.</p><
<p>Time has run out for one of the inmates at Cold Mountain penitentiary. Eduard Delacroix is set to make his way into the lap of Old Sparky. But first he must say good-bye—to the guards, to his fellow inmates, and to a strange creature that forever changed his life. Little does he know of the terrible fate that awaits him, and of a devilish plan of revenge. Though no execution can ever be routine, it can follow procedures put in place to minimize pain and avoid a ghastly end. But those procedures are only as good as the men carrying them out. Unfortunately for Delacroix, one of those men is Percy Wetmore. And he’s determined to hear Delacroix’s screams of agony echoing along the Green Mile.</p><
<div> — Y a quelqu'un... J'en suis sûre.<br> Marjorie avait presque crié. Eric s'écarta de la jeune fille qui s'était blottie dans ses bras et scruta la forêt. Le clair de lune dispensait sur les lieux une lumière spectrale, animant les fourrés d'ombres étranges. Lui aussi, il avait entendu un bruit, un frôlement tout proche et, malgré l'assurance de ses dix-huit ans, il se prit à regretter cette escapade nocturne où il avait entraîné Marjorie, sous prétexte d'aller écouter le brame des cerfs...<br> Soudain, une forme fantômatique traversa leur champ de vision. Une forme qui semblait flotter au-dessus du sol et dont la tête était couronnée de grand bois de cerfs. Au même instant, les premières notes d'une mélodie s'élevèrent, sinistres, glaçantes.<br> — Allons-nous-en, je t'en prie ! s'étrangla Marjorie.<br> — Arrête, c'est ridicule, voyons ! tenta de la raisonner Eric.<br> Mais Marjorie lui échappa et s'enfuit à toutes jambes. La brume l'engloutit aussitôt et le bruit feutré de sa course s'éteignit rapidement, avalé par la triste litanie dont les ondes s'effilochaient dans le sous-bois comme autant de lambeaux sonores.<br> Eric ne devait jamais la revoir vivante.</div><
<p>Prison Warden Hal Moores isn’t just Paul Edgecombe’s boss—Hal and his wife Melinda are also friends with Paul and his wife Janice. When Paul learns that Melinda has a brain tumor, he realizes that John Coffey can use his astonishing gift to heal her. Though Paul understands that the warden would never allow John to leave the prison, and Melinda can’t enter it, he also knows that John is Melinda’s only hope for survival. And so Paul and other E Block guards devise a dangerous plan that risks their jobs—not something to take lightly in 1932—as well as their lives. They decide to spirit John away into the night and beyond the confines of the Green Mile.</p><
<div>— Amanda Delblak, je suppose ? fit Ronny Blade en serrant la main de la journaliste, une toute jeune fille au visage rond auréolé d'une tignasse rousse ébouriffée. Nous sommes très heureux mes associés et moi-même de pouvoir vous accorder cet interview ; j'ai également convié Xhyvor, notre plus jeune collaborateur à y participer. Vous verrez, ce garçon a un tas de qualités et notamment des pouvoirs télépathiques très surprenants.<br> Tout en parlant, le businessman avait entraîné son invitée jusqu'à la terrasse de leur villa où il l'invita à s'asseoir sur l'un des transats disposés autour d'une table. Alors, tandis que, s'apprêtant à s'installer, la journaliste passait devant lui, Xhyvor fut soudain saisi par une sensation aussi brutale que terrifiante.<br> — Non, Mademoiselle Amanda, s'écria-t-il d'une voix blanche. Ne faites pas ça ! La jeune femme réagit en un quart de seconde : portant la main à sa ceinture où était suspendu l'étui de sa caméra numérique, un modèle high-tech miniaturisé, elle se redressa et. les doigts crispés sur la crosse de la pseudo vidéo, se mit à tournover en lâchant autour d'elle une série de salves meurtrières.</div><
<div>— Un jeu... Pour moi ce n'était rien d'autre. Un jeu qui avait mal tourné, certes, puisque, lors d'un exercice précédent, il y avait déjà eu mort d'hommes mais, à la vérité, quand je me suis lancé dans cette enquête sur le paintball — ce nouveau « sport » qui nous vient d'outre-Atlantique et où deux équipes doivent s'affronter, armées de fusils qui tirent des billes de peinture pour éliminer l'adversaire — , rien ne laissait présager autre chose qu'un simple fait divers. Or, très vite, après notre intervention, nous nous sommes trouvés face à une agression dont je ne crains pas de dire qu'elle est d'une ampleur considérable et très probablement d'origine... extraterrestre !<br> La conclusion de Gilles Novak fit l'effet d'un coup de tonnerre dans la salle du Conseil suprême où se tenait cette cellule de crise. Si le chef du commando Alpha disait vrai, c'est toute la Confédération galactique qui était menacée d'anéantissement et, derrière elle, l'Ordre cosmique des Chevaliers de Lumière...</div><
<p>Antonio Martens is a torturer for the secret police of a recently defunct dictatorship. Now imprisoned, he begins to recount his involvement in the surveillance, torture and assassination of Federigo and Enrique Salinas, a prominent father and son whose principled but passive opposition to the regime left them vulnerable to the secret police.</p><p>Preying upon the young boy's aimless life, the secret police began to position him as a subversive element, before they turned their attentions to his father. Once the plan was set into motion, any means were justified to reach the regime's chosen end…</p><
In the mist-shrouded haze of the past, the world of Azeroth teemed with wondrous creatures of every kind. Mysterious Elves and hardy Dwarves walked among tribes of man in relative peace and harmony—until the arrival of the demonic army known as Burning Legion shattered the world’s tranquility forever.<
<div>Par les maître du Franc lourd !<br> Xavier Petit Ferrone, financier, homme de confiance chargé par Blade et Baker de surveiller les intérêts de la B & B Co, faillit tomber de sa chaise, foudroyé par la nouvelle qui venait de s'inscrire sur l'écran de son unité centrale : « On apprend, de source sûre, qu'un coup d'état vient d'avoir lieu sur Kündest. Les maîtres de la jante ont fait savoir qu'ils gelaient les avoirs des sociétés implantées sur leur territoire et, plus grave, qu'ils fermaient les puits d'extraction des mines de diamants-alpha, dont chacun sait que la quasi-totalité provient des gisements de cette neuvième planète du système Thêta. Il semblerait... »<br> Mais Petit-Ferrone n'écoutait plus. La tête dans les mains, il mesurait déjà les implications d'une telle catastrophe : au-delà de la ruine de la B & B Co. Dont les investissements sur place étaient considérables, c'est toute l'économie de l'Hyperconfédération qui allait s'effondrer : Le diamant-alpha était l'un des composant nécessaire à la propulsion supraluminique des énormes astrocargos assurant l'intégralité des échanges intergalactique...</div><
<p> L'œil rivé sur son rétroviseur, Gérard Simon poussa un juron et accéléra légèrement. De nuit, à près de 80 km/h sur cette route de montagne verglacée, impossible de rouler plus vite. Pourtant le double faisceau des phares de ses poursuivants ne le lâchait toujours pas. Ses poursuivants... Gérard ne put retenir un sanglot étouffé : comment aurait-il pu imaginer qu'un jour, après douze ans d'apostolat au sein de l'ordre de la lumière Dorée, ses anciens compagnons se transformeraient en une meute de tueurs lancés à ses trousses, acharnés à le liquider comme ils avaient liquidé les autres adeptes réunis au chalet pour une cérémonie rituelle ? Pourquoi avait-il une fois de plus cédé à cette convocation ? Comment avait-il pu se laisser abuser par la perspective de fumeuses révélations concernant les Arcana Arcanorum auxquelles lui et ses frères devaient soi — disant avoir enfin accès ? Gérard ricana intérieurement. Douze ans ! Douze ans d'anesthésie ! Perdu dans ses pensées, Gérard ne vit qu'au dernier moment la congère qui se dressait devant lui. Il donna un brusque coup de volant, les pneus arrière de son break chassèrent et la voiture partit en tête-à-queue dans un ballet de cristaux glacés.</p><
<p>Hinter den nebulösen Schleiern der Vergangenheit verbirgt sich die Welt Azeroth mit all ihren wundersamen Wesen. Mysteriöse Elfen und kräftige Zwerge lebten mit den Stämmen der Menschheit in relativem Frieden und Harmonie – bis eine dämonische Armee, die sich Brennende Legion nannte, die Ruhe dieser Welt auf ewig vernichtete. Jetzt kämpfen Orks, Drachen, Goblins und Trolle um die Macht über die zersplitterten, kriegführenden Königreiche. Doch dies ist nur Teil eines großen, bösartigen Plans, der über das Schicksal der WARCRAFT-Welt entscheiden wird.</p><p>Furchteinflößende Ereignisse in den höchsten Zaubererkreisen zwingen den jungen Magier Rhonin zu einer gefährlichen Reise in das von Orks kontrollierte Land Khaz Modan. Dort entdeckte Rhonin eine gewaltige, weitreichende Verschwörung, die dunkler ist als alles, was er sich je vorstellen konnte. Diese Bedrohung zwingt ihn zu einer gewagten Allianz mit uralten Kreaturen der Luft und des Feuers. Mit Ihrer Hilfe wird es für die Welt Azeroth vielleicht ein Morgen geben.</p><
<p>Lorsque, à petites foulées, Zeb-Vhol déboula sur le terrain de skurf, un tonnerre d'applaudissements l'accueillit. Le champion s'immobilisa au milieu du stade, enivré par le sentiment de puissance absolue que lui procurait l'ovation de ces centaines de supporters en délire. Quelque part dans la foule pourtant, trois individus étaient loin de partager l'euphorie générale. Savourant enfin le goût d'une vengeance longtemps remâchée, l'un d'eux connecta son écran tactile, vérifia une dernière fois les différentes zones où avaient été placés les détonateurs, puis, d'un geste rageur, il lance le compte à rebours. Dans moins d'une minute maintenant, les milliards de spectateurs rivés à leur télévisionneur pourraient suivre en direct la série d'explosions qui allaient secouer la cérémonie d'ouverture des premiers Jeux Olympiques du Renouveau. Un échec retentissant pour les sponsors de l'événement, parmi lesquels la Mode & Baker Corporation... Et, derrière cet échec, le spectre d'un krach à l'échelle de toute la Galaxie.</p><
<p>The first volume of this three-part autobiographical series begins in 1938 with the expulsion of the Kovacic family from their home of Switzerland, eventually leading to their settlement in the father's home country of Slovenia. Narrated by Kovacic as a ten-year-old boy, he describes his family's journey with uncanny naiveté. Before leaving their home, he imagines his father's home country as something beautiful out of a fairytale, but as they make their way toward exile, he and his family realize that any attempt to make a home in Slovenia will be in vain. Confronted by misery, hunger, and hostility, the young boy refuses to learn Slovenian and falls silent, his surroundings becoming a social, cultural and mental abyss.</p><p>Kovačič meticulously, boldly, and sincerely portrays the objective, everyday world; the style is clear and direct. Told from the point of view of a child, one memory is interrupted by fragments and visions of another. Some are innocent and tender, while others are miserable and ruthless, resulting in a profound and heart-wrenching description of a period torn apart by conflict, reflected in the author's powerful and innovative command of language.</p><
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