Enfin, quelque chose apparaît, surgit, se dépouille. Quelque chose de monstrueux. Une masse énorme qui ressemble aux mutox. Mais des centaines de fois plus grosse. Son enveloppe est héris­sée de vacuoles et aussi d’alvéoles. Meker imagine très bien à quoi servent ces « nids ». C’est l’emplacement d’un mutox. Ainsi ceux-ci s’agglomèrent sur une créature vivante. Car la créature vit. Des signes l’indi­quent. Ses vacuoles frémissent. Des pseudopodes poussent, se rétractent, bavent...